le nouveau windows s’apelle : Windows 8 Milestone 2

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Windows 8 reste encore très mystérieux. Bien que cela fasse bientôt un an et demi que la version 7 est disponible, Microsoft n’a pas encore commencé à parler officiellement de son successeur. Même le nom « Windows 8 » n’est pas une certitude, l’éditeur s’y référant parfois en interne à « vNext ». Pourtant, le travail continue, et l’étape « Milestone 2 » est presque franchie.

win7


La Milestone 2 presque à terme

Traditionnellement, dans chaque version de Windows en cours de développement, on trouve trois Milestones, c’est-à-dire jalons, avant l’arrivée d’une bêta. Durant l’avancée à travers ces Milestones, Microsoft ajoute des fonctionnalités, mais pas forcément de manière cumulée. Certaines font leur apparition, d’autres disparaissent pour revenir ensuite ou pas, etc. Concernant cette Milestone 2, Microsoft a compilé très récemment des versions « Escrow », très proches du résultat attendu.

D’après les informations obtenues par WinRumors, la troisième Milestone serait prévue pour le mois de juin, clôturant ainsi la phase que l’on peut qualifier d’alpha. Notre confrère estime qu’une version bêta publique pourrait donc apparaître durant l’été. Cela cadrerait avec certaines informations que nous avons reçues récemment, et qui indiquaient que l’éditeur aurait nettement plus à dire sur Windows à partir de cet été.

Une tablette Windows 8 dans un an ? Pourquoi pas…

Une chose est certaine : on ne sait pas exactement ce que fait Microsoft avec son prochain Windows, mais un changement important est manifestement présent… si ce n’est plusieurs. Il existe de nombreux indices à portée de main, le tout est de pouvoir recomposer la trame à partir de ces morceaux épars. L’annonce, durant le CES, de la prise en charge des puces ARM est probablement le signe le plus révélateur sur ce qui va advenir de Windows.

Si l’on ajoute maintenant la fameuse feuille de route de Dell récupérée via une fuite, on s’aperçoit qu’une tablette Windows 8 serait prévue pour le premier trimestre 2012, soit dans environ un an. Pourquoi pas après tout ? Si nous nous concentrons uniquement sur ce que l’on sait être exact et la communication officielle de la boîte, alors deux éléments sont à prendre en compte :

  1. L’annonce de Steve Ballmer sur le fait que Windows 8 est le pari le plus risqué de Microsoft à ce jour
  2. L’autre annonce indiquant qu’aucune version de Windows ne sera réellement adaptée aux tablettes avant la 8

En recoupant l’ensemble avec l’annonce des puces ARM, on en déduit que de gros travaux sont en cours. Introduisons maintenant une hypothèse : Windows 8 pour PC est bien prévu pour fin 2012 comme prévu, mais la feuille de route de Dell est authentique. Dans ce cas, qu’est-ce qui permettrait une sortie sur tablettes bien avant celle sur PC ? Solution : la version pour tablettes aurait une surface de code plus réduite, en n’embarquant que ce qui est réellement nécessaire pour ce cas de figure.

.Net en voie royale

Autre donnée factuelle : Windows Phone 7 réclame obligatoirement C# et Silverlight pour le développement des applications. Traduction, le code natif n’est pas autorisé. Et pourtant, le résultat est que les applications sont bel et bien présentes, adaptées aux écrans tactiles, et réactives (du moins quand elles sont bien codées). Et si Microsoft faisait la même chose avec Windows 8 pour les tablettes ? En admettant que Windows n’est pas adapté aux ardoises tactiles, Microsoft parlait très certainement de l’environnement Win32, non présent sur Windows Phone 7 d’ailleurs. Une surface de code plus petite ? L’absence de Win32 ?

Dernier point en faveur de cette hypothèse : la compatibilité avec les puces ARM, oui mais comment ? Si Microsoft s’appuie sur le code natif, alors ledit code doit être recompilé pour chaque architecture matérielle différente. Le seul moyen à Redmond de créer un code s’exécutant sur différentes machines est de passer par .Net. Qu’importe alors si la tablette fonctionne avec un Tegra 2 ou un processeur Atom : c’est à la machine virtuelle .Net de s’occuper du travail.

source : pcimpact

comment éffacer l´ID Google Chrome

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Le navigateur Internet de Google, Chrome, installe dans votre ordinateur un traceur. Voici comment l´effacer.

Seulement trois semaines après sa diffusion, le navigateur-web de Google, est déjà en baisse de régime. Les chiffres parlent, 0,77% des internautes utilisent l’application Google, contre 0,85 %, la semaine dernière.

Vince Vizzaccaro, vice président des marchés en matière d’application web, déclare que "Chrome risque de voir sa popularité baisser et les chiffres hebdomadaires le reflètent parfaitement, bien que son utilisation ai été au dessus de 1% durant quelques heures après sa sortie".

Malgré cela, la sortie du navigateur a eu un impact sur ses concurrents: Firefox, Opéra et Netscape ont vu leur utilisation en diminution dés le 2 septembre, date de sortie de Chrome. Comme ses prédécesseurs, Chrome ne se voit pas préféré à Internet Explorer dans les entreprises et les administrations. Deux entités qui n’autorisent pas leurs employés à utiliser une alternative à l’outil Microsoft.

La difficile progression du butineur Google s’explique sans doute par la faible promotion autour du du navigateur indique Vizzacaro "Le seul effort marketing que j’ai vu, indique-t-il, était dans les liens sponsorisés de Google".

Il faut bien sur rappeler que pour l’instant, Chrome n’est qu’une version bêta. Un outil qui reste, pour ce qui concerne la sécurité, encore très vacillant.

Pour preuve, le numéro d’identification qui se cache dans chaque installation. Google sauvegarde un identifiant unique, dans votre ordinateur, lors de la mise en place de Chrome.

Cet identifiant est-il dangereux ? Google indique ceci dans sa page liée à la confidentialité Google Chrome : "Votre copie de Google Chrome inclut un ou plusieurs numéros d’application uniques. Ces numéros, ainsi que les informations relatives à l’installation de votre navigateur (par ex., numéro de version, langue), sont envoyés à Google lorsque vous installez et utilisez le produit pour la première fois et lorsque Google Chrome recherche automatiquement les mises à jour. Si vous choisissez de transmettre à Google des statistiques d’utilisation et des rapports d’erreur, le navigateur nous envoie également ces informations avec un numéro d’application unique. Les rapports d’erreur peuvent contenir des informations issues de fichiers, d’applications et de services qui étaient en cours d’exécution au moment du dysfonctionnement. Nous exploitons ces rapports d’erreur pour établir un diagnostic et essayer de résoudre les problèmes du navigateur. (…) Les informations que Google reçoit lorsque vous utilisez Google Chrome sont exploitées afin d’améliorer le fonctionnement de Google Chrome et des autres services Google."

Exemple d’utilisation d’information par Google

Voici un exemple d’entrée de journal pour une requête, via Google et Google Chrome, portant sur le mot « ZATAZ », suivie par une explication de ces différents éléments proposée par le géant américain :

123.45.67.89 – 23/Sep/2008 10:15:32 – http://www.google.fr/search?q=zataz – Firefox 1.0.7; Windows NT 5.1 – 740674ce2123e969. Pour Chrome il est de cette forme A12345678-12A4-1A34-123A-1ABCD23E45F6

* 123.45.67.89 désigne l’adresse IP attribuée à l’utilisateur par son fournisseur d’accès Internet. Selon le type d’accès utilisé, l’utilisateur est susceptible de se voir attribuer une adresse IP différente par son fournisseur à chaque connexion à Internet ;

* 23/SEP/2008 10:15:32 désigne la date et l’heure de la requête ;

* http://www.google.fr/search?q=zataz désigne l’URL demandée, contenant dans le cas présent, l’objet de la requête ;

* Firefox 1.0.7; Windows NT 5.1 désigne le navigateur et le système d’exploitation utilisés; et

* 740674ce2123a969 est le code unique du cookie attribué à un ordinateur donné lors de la première visite de l’utilisateur sur Google.

Les utilisateurs peuvent supprimer les cookies, auquel cas un nouveau cookie sera attribué lors d’une prochaine visite sur Google à partir du même ordinateur.

Un peu de Mercure au Chrome !

Deux possibilités pour annuler l’ID de Chrome. Pour ceux qui ne veulent pas utiliser un logiciel tiers pour effacer cet ID, il est possible de mettre les mains dans la pâte pour éradiquer manuellement ce numéro d’identification. Avec le bloc-note de votre choix, allez chercher le fichier User Data dans le répertoire Chrome. Il suffit d’effacer le code inscrit dans la partie : "user_experience_metrics", ligne "client_id". Le code est sous cette forme "A12345678-12A4-1A34-123A-1ABCD23E45F6". Attention, les mises à jour possible de Chrome pourra certainement remettre cet identifiant en place. Pour ceux qui ne veulent pas tripatouiller les fichiers de Chrome, un logiciel édité par une société allemande, AbelsSoft, propose de l’éradiquer. Il se nomme UnChrome.

Ejecter un périphérique USB quand windows râle

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Ejecter un périphérique USB quand windows râle

    Le message d’erreur ci-dessus vous
énerve, vous êtes pressé ? Cela arrive lorsque un programme ou simple
processus verrouille un fichier sur un périphérique amovible, clé usb,
disque dur externe, etc… C’est pour votre bien, ou plutôt pour celui
des données que l’on écrit dessus, mais cela peut agacer, d’autant que
parfois on ne trouve pas le processus coupable, sur des disques durs
externes notamment.

Unlocker peut aussi se charger de ce type de déverrouillages… clic-droit, unlocker, depuis le poste de travail, tout simplement :

Et il n’y a plus qu’à "tout débloquer", et on éjecte.


Site officiel d’unlocker

Trouver sur Google les programmes que vous cherchez facilement

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bonjour une astuce qui m’ a été donne par Onozendai.

quand vous recherchez sur Google taper RS lenomduprogramme

ça vous conduiras dans les 2 premier liens a des rapideshares, donc telechargeables directement.

j’espere que ça pourras vous aider.

 

Schaka

des remèdes à vos mots de passe ? Mots de passe perdu ? The solution

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ActMon WASP v2.3

Description courte : ActMon WASP (Write All Stored Passwords) montrera tous les mots de passe de l’utilisateur actuellement connecté qui sont stockés dans le fichier Microsoft PWL.

Taille : 1,3 Mo
 
AspNetUserPass v1.00

Description courte : AspNetUserPass est un très simple utilitaire qui affiche le mot de passe du compte ASP.NET crée lors de l’installation de FrameWork Microsoft.Net.

Taille : 2 Ko

 
Cain & Abel v4.9.10

Description courte : Cain & Abel est un super outil pour découvrir en autres les mots de passe des logiciels Microsoft dont Access, les mots de passe en réseau, les clés Wep et l’analyse du réseau.  

Taille : 6 Mo

 

John the Ripper v1.7.0.1

Description courte : John the Ripper permet d’extraire les mots de passe à partir du hash LM (casse ignorée) et NTLM (casse prise en compte) d’un PC sous Windows NT/2000/XP/2003. 

Taille : 2 Mo

 

 

Ophcrack v2.4.1
Description courte : Ophcrack permet de craquer les mots de passe de Windows basé sur la méthode des tables Rainbow qui permet d’accélérer le craquage.
Taille :4 Mo

 

 

Pwdump2 v2

Description courte : Pwdump2 est une application qui récupère le hach des mots de passe de la base de données SAM de NT, si SYSKEY est activé sur le système.

Taille : 46 Ko

 

 

Pwdump6 v1.5.0

Description courte : Pwdump6 extrait le hash NTLM et LanMan d’un PC sous Windows NT/2000/XP/2003, indépendamment de SYSKEY. Il est également capable d’afficher l’historique des mots de passe s’il est disponible. 

Taille : 529 ko

different programmes pour bloguer encore mieux

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Saviez vous qu’il existait des programmes pour blogger sans forcement utiliser l’interface de votre nevigateur préféré. L’idéal pour blogger offline et synchroniser quand vous être en ligne.

Voici un petit passage en revu des clients lourds réservés aux bloggers de poids

  • Windows Live Writer – Pour Windows Live. Il supporte des plugins (y’en a qu’un pour le moment)
  • w.bloggar (Windows) – Dispo en version portable pour mettre sur votre clé USB, il supporte les plateformes de blogs suivantes : WordPress, MovableType, TypePad, Drupal, b2evolution, Nucleus CMS, Squarespace, Community Server et BlogEngine.NET
  • AIRPress (Windows, Mac) – Editeur basé sur Adobe AIR fonctionnant avec WordPress. Vous devez avoir Adobe AIR beta 2 pour faire fonctionner la chose.
  • Thingamablog (Window, Mac, Linux) – Ce soft vous permet de blogger directement sans CMS.
  • Qumana (Windows, Mac) – Idéal pour blogger offline, il supporte Angelfire, Blogger/Blogspot, BlogHarbor, Blogware, Bryght, DiaryLand, Drupal, LiveJournal, MovableType, MSN Spaces, Tripod, TypePad, Roller, SquareSpace, WordPress.com et WordPress.org
  • BlogDesk (Windows) – Optimisé pour WordPress, MovableType, Drupal, Serendipity et ExpressionEngine.

good luck !

Mettre un compteur sur son blog

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Il existe différentes sortes de compteurs.

* Le compteur de visites : indique le nombre de visites.

* Le compteur live : indique le nombre de connectés en direct sur votre blog.

* Le compteur Page Rank : Google Inc. évalue la popularité de votre site avec des notes entre 0 et 10.

Voici un site avec un grand choix de compteurs.

Freecompteur.com

– Une fois sur le site, inscrivez vous.

– Gardez soigneusement votre pseudo et mot de passe

– Ils serviront à retourner sur le site, pour le changement de compteur, de couleurs etc…

– Faites vos choix et ils vous donneront des codes 

– A recopier dans votre billet en cliquant sur <HTML>

– Avec le code suivant pour un compteur de visites :

<P><img src="Votre adresse reçue" alt="FreeCompteur.com"></P>

– Avec le code suivant pour un compteur live :

<P><img src="Votre adresse reçue"= le numero du style choisi "alt="FreeCompteur Live"></P>

– Au lieu de "le numero du style que vous avez choisi"

rentrez un chiffre pour caractériser le style de votre compteur Live

– Avec le code suivant pour un compteur Page Rank :

<P><img src="Adresse reçue&s=URL de votre site&c=le numero du style choisi" alt="FreeCompteur PageRank"></P>

faire un module html et copier les code avec vos infos , pas beau la vie, hein ?

Installer la console de récupération

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    L’opération est rapide, utile et peu gourmande en espace disque. La console de récupération peut sauver votre système le jour où vraiment rien ne démarre et que vous avez besoin de faire certaines manipulations sur vos fichiers, manipulations qu’un liveCD linux ne permettrait pas par exemple une réparation du secteur d’amorce (boot) de votre disque dur au moyen de la commande fixmbr. Des virus récents ne sont pratiquement pas réparables par d’autres moyens, installer la console de récupération relève donc de la prévention.

    Voici la marche à suivre sous windows XP : munissez-vous de votre CD d’installation de windows avant toute chose, et insérez-le dans votre lecteur. Pour un pc de marque sans cd, fouillez vos disques durs à la recherche d’un dossier de fichiers windows (nommé souvent i386) ou d’un cd de restauration qui possèderait ce dossier.

    Ouvrez le menu démarrer, puis la boite "exécuter". Entrez la commande suivante :

    E:\I386\WINNT32.EXE /CMDCONS
       Ici E:\ est la lettre du lecteur CD/DVD, modifiez en fonction de votre configuration pour avoir la bonne lettre. Dans le cas d’un dossier i386 sur disque dur, même principe, modifier le chemin d’accès à winnt32.exe

    Validez. Si votre CD ne correspond pas à la version installée de windows, le message ci-dessous apparaîtra. Cela se produit par exemple avec un CD windows XP sans service pack alors que votre OS est au service pack 2 (SP2).

    Si cela se produit, il faudra mettre à jour votre CD de windows au dernier service pack en date, et créer un cd d’installation intégrant le service pack. Cette opération est légale à partir de votre cd original et se nomme "installation slipstream", voici un dossier montrant cette opération : Installation slipstream (zebulon.fr).

    Avec le bon disque, voici le message :

    Cliquez sur oui, quelques fenêtres vont s’ouvrir, si on vous propose une connexion par internet, elle est inutile, vous pouvez la refuser, il n’est pas nécessaire d’être connecté pour installer la console de récupération :

    Donc par défaut, vous pouvez ignorer. Cliquez sur suivant, les fichiers nécessaires vont être copiés depuis le disque.

    L’installation se termine en quelques secondes. Cliquez sur OK.

    A ce stade, par défaut windows affiche le menu de choix entre windows et la console de récupération à chaque démarrage. Pénible, car on ne s’en sert pas tous les jours. Faites un clic droit sur le poste de travail et choisissez "propriétés", ou bien pour les adeptes du clavier, faites Win+Pause, cela ouvre les propriétés système, accessibles aussi depuis le panneau de configuration.

    Allez à l’onglet "avancé" et dans la section démarrage et récupération, cliquez sur le bouton "paramètres".

    Vérifiez que c’est bien windows qui est choisi dans "système d’exploitation par défaut", dans la liste, une nouvelle entrée pour la console de récupération doit être présente.

    Décochez les deux cases suivantes :

    – Afficher la liste des systèmes d’exploitation pendant…

    – Afficher les options de récupération pendant…

    Validez.

    Vous n’accéderez à la console de récupération qu’en le demandant expressément.

Accéder à la console de récupération

    Au démarrage, sur un pc avec un seul windows, appuyez sur la touche F8 après les informations du bios, comme pour aller en mode sans échec.

    Ceci affiche ceci à l’écran, vous pouvez choisir la console. Choisir windows (ou presser F8 à nouveau) vous rend votre écran habituel avec le mode sans échec et les autres options.

    Validez, la console de récupération démarre, cela prend quelques secondes.

    Si plusieurs systèmes d’exploitation sont présents, on vous demande de choisir en tapant le chiffre correspondant à son dossier d’installation ; un seul système, tapez 1 puis validez avec entrée. Entrez le mot de passe administrateur (il s’agit du compte administrateur, pas du mot de passe de votre compte qui aurait des droits administrateur : si vous n’en avez pas défini au compte admin, n’entrez rien et validez.

    La console démarre, vous obtenez une invite qui attend vos commandes :

Annexe : les commandes de la console de récupération

    Là, il faut aimer la ligne de commande, où être piloté depuis un forum.

      Utilisez la commande help pour obtenir la liste des commandes prises en charge suivantes : attrib, del, fixboot, more, set, batch, delete, fixmbr, mkdir, systemroot, bootcfg, dir, format, more, type, cd, disable, help, net, chdir, diskpart, listsvc, rd, chkdsk, enable, logon, ren, cls, exit, map, rename, copy, expand, md, rmdir. Les commandes en gras sont destinées à réparer le secteur d’amorçage, attention, une mauvaise manipulation peut définitivement effacer des fichiers ou corrompre le disque. En bleu, les commandes qui manipulent des fichiers.

    Ms.Dewey – un moteur de recherche très féminin

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    Ms.Dewey
    Un moteur de recherche qui ne se contente pas d’afficher des lignes de texte. Une belle actrice attend vos questions et commente vos recherches. C’est parfois drôle et pertinent. Cela change de l’éternel logo Google. A voir pour le fun !

    Taper les dossiers d’une touche dans la console

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    Taper les dossiers d’une touche dans la console

        Si vous utilisez la console de windows pour vous promener dans les arborescences, peut-être serez vous intétresé par un raccourci pour entrer un nom de dossier long très rapidement (non, pas le 6+"~1"). Vous tapez cd (pour changer de dossier) et la première lettre du dossier, et appuyez sur la touche Tabulation, on vous propose le dossier, déjà tout tapé… tout simplement. Fonctionne en dehors de la commande cd (change directory).

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